La théorie de la carte postale – Sébastien Lapaque
Sur un chemin poétique, délicat qui invite à la rêverie, l’auteur nous invite à partager de petits bouts de vie déposés çà et là sur le plus beau des supports papier, la carte postale. Que de mots doux, de petits clins d’œil, d’éclats d’amour, de baisers, de tendresse, de souvenirs de coins idylliques, de ciels désolés, d’éléments déchaînés, de signes de vie, d’amitié réunis dans un délicieux roman de cent pages à peine…
Dans cet opus imprégné d’émotion, l’auteur glorifie la carte postale, fait l’apologie de ce bout de papier-photo comme un signe de vie, un besoin essentiel de dire à ceux qu’on aime que l’on pense à eux. Sorte de repère cette carte postale devient, fût-ce un instant, comme l’escale essentielle d’un bout de vie ailleurs, sous un autre soleil, sur une autre terre, ou juste l’envie de partager un coin de ciel bleu ou d’envoyer quelques mots qui sonnent comme une mélopée dans le cœur du destinataire.
Ce petit récit tout en légèreté porte un titre qui pourrait sembler rébarbatif et émousser l’enthousiasme du lecteur à la lecture de la quatrième de couverture. Mais l’engouement va croissant au fil des pages et dès après avoir ouvert ce petit trésor habillé d’écru et exhalant le papier d’antan, l’on est d’emblée conquis.
Et le cœur rempli d’émois, on parcourt cette promenade de mots avec l’envie de reprendre la plume et de griffonner quelques mots en guise de tendres pensées, de partage d’un ailleurs ensoleillé, d’une brise marine ou de quelques flocons montagnards.
Pour ma part, dans un calepin que j’emporte partout, j’écris à la plume mes émois, dessine mes joies, mes tourments, tous ces fragments de ma vie que je dépose et cloisonne puis retranscris de mon cœur sur le papier. Férue d’écriture intime, je délaisse souvent le clavier trop synthétique. Et les cartes postales ont trouvé dans ma vie une place importante. Maintes fois j’ai envoyé aux êtres chers quelques ressentis d’ailleurs où je séjournais, juste pour leur dire que même loin je pensais à eux.
Ce roman est tout simplement un ravissement. L’auteur nous raconte avec humour et authenticité et à travers une multitude d’exemples de messages écrits à l’encre, certains laconiques, d’autres plus prolixes, combien la carte postale a gardé toute sa fraîcheur et sa beauté inaltérables. Il nous invite à ne jamais laisser de côté ce petit bristol illustré au profit du clavier d’un Smartphone desservant des SMS dénués de la moindre émotion…
Sur un chemin poétique, délicat qui invite à la rêverie, l’auteur nous invite à partager de petits bouts de vie déposés çà et là sur le plus beau des supports papier, la carte postale. Que de mots doux, de petits clins d’œil, d’éclats d’amour, de baisers, de tendresse, de souvenirs de coins idylliques, de ciels désolés, d’éléments déchaînés, de signes de vie, d’amitié réunis dans un délicieux roman de cent pages à peine…
Dans cet opus imprégné d’émotion, l’auteur glorifie la carte postale, fait l’apologie de ce bout de papier-photo comme un signe de vie, un besoin essentiel de dire à ceux qu’on aime que l’on pense à eux. Sorte de repère cette carte postale devient, fût-ce un instant, comme l’escale essentielle d’un bout de vie ailleurs, sous un autre soleil, sur une autre terre, ou juste l’envie de partager un coin de ciel bleu ou d’envoyer quelques mots qui sonnent comme une mélopée dans le cœur du destinataire.
Ce petit récit tout en légèreté porte un titre qui pourrait sembler rébarbatif et émousser l’enthousiasme du lecteur à la lecture de la quatrième de couverture. Mais l’engouement va croissant au fil des pages et dès après avoir ouvert ce petit trésor habillé d’écru et exhalant le papier d’antan, l’on est d’emblée conquis.
Et le cœur rempli d’émois, on parcourt cette promenade de mots avec l’envie de reprendre la plume et de griffonner quelques mots en guise de tendres pensées, de partage d’un ailleurs ensoleillé, d’une brise marine ou de quelques flocons montagnards.
Pour ma part, dans un calepin que j’emporte partout, j’écris à la plume mes émois, dessine mes joies, mes tourments, tous ces fragments de ma vie que je dépose et cloisonne puis retranscris de mon cœur sur le papier. Férue d’écriture intime, je délaisse souvent le clavier trop synthétique. Et les cartes postales ont trouvé dans ma vie une place importante. Maintes fois j’ai envoyé aux êtres chers quelques ressentis d’ailleurs où je séjournais, juste pour leur dire que même loin je pensais à eux.
Ce court roman est tout simplement un ravissement. L’auteur nous raconte avec humour et authenticité et à travers une multitude d’exemples de messages écrits à l’encre, certains laconiques, d’autres plus prolixes, combien la carte postale a gardé toute sa fraîcheur et sa beauté inaltérables. Il nous invite à ne jamais laisser de côté ce petit bristol illustré au profit du clavier d’un Smartphone desservant des SMS dénués de la moindre émotion…
Alors continuons de griffonner sur des bouts de carton nos messages du cœur, envoyons nos émois et gardons le sens de l’émerveillement à la découverte du morceau de vie reçu dans la boîte aux lettres…
La théorie de la carte postale de Sébastien Lapaque